Une très jolie mélodie pour ce 22ème morceau du répertoire de la série 3... Elle ne m'inspirait pas trop au début, car j'avais trop de problèmes de rythme pour pouvoir la sentir, mais en la travaillant je l'ai découverte et je l'ai adoptée .

Je l'ai travaillé à 69 à la noire comme préconisé, mais au final je le joue un peu plus rapidement, car il est plus fluide, plus léger, comme ça.

La dernière note de la main gauche n'est pas audible, la touche n'a pas déclenché (trop douce ?), mais j'ai gardé cette version quand même car c'est celle où j'ai le mieux réussi à mettre les nuances que je voulais mettre...

Et bien, c'est clair que ce n'est pas moi le fou du rock..

La principale difficulté pour moi, une fois la vitesse acquise, c'était d'allèger un peu la main gauche pour qu'elle ne soit pas trop pesante avec tous ces accords, pour qu'elle ne masque pas la mélodie. Les croches sont plutôt moins bien passées à la reprise....

Et puis, quitte à bouffer du rock, j'ai essayé d'explorer les possibilités du piano côté accompagnement, histoire de m'amuser un peu et d'apprendre à l'utiliser.

Vingtième morceau du répertoire de la série, un slow, avec des arpèges larges (aïe ! mes doigts recommencent à me titiller à la main gauche).

Première version, classique, sonorité piano, pédale et nuances (enfin, plus ou moins, les nuances...), difficile de ne pas accélérer le tempo sans métronome :

Deuxième version pour le fun, avec sonorité saxo ténor à la main droite, piano à la main gauche et accompagnement : 

Fini de rire ! Le prochain morceau est un rock . Enfin, ça reposera ma main gauche. A quelque chose malheur est bon, paraît-il....

Dix-neuvième morceau du répertoire de la série 3 de la méthode Colin, un slow avec quelques accords à la mains droite, quelques départs de croches à contre-temps.

Je n'ai pas su dégager et apprécier la mélodie de ce morceau, du coup je l'ai joué avec la boîte à rythme pour m'aider à soutenir mon attention et l'accompagner un peu.

C'est presque ce que je pourrais dire à mon piano si je ne craignais pas de passer pour une dingue, tant il est vrai que dans des morceaux lents comme celui-ci, c'est un vrai bonheur de pouvoir essayer de s'exprimer sans passer par les mots...

NB : j'ai joué le morceau en intercalant le refrain entre chaque couplet et non comme le joue M. Colin sur le CD.